« La neuroscience n’a commencé que très récemment à déterminer les composantes biologiques de la coopération et de l’altruisme en identifiant le rôle de l’ocytocine », écrivent les chercheurs dans le préambule. Ils ont donc cherché à améliorer les connaissances en ce sens en menant leur étude.
L’ocytocine est relâchée de façon naturelle par l’organisme lors de situations sociales, comme lorsqu’on chante dans un chœur, soulignent les chercheurs. Pour mener l’expérience, on aurait bien pu faire augmenter le taux d’ocytocine des participants en les invitant à participer à de telles activités.
Nous rejetons explicitement l’idée de vouloir manipuler le comportement des gens envers les réfugiés.