Ces Siciliens sournois et lâches, des descendants de bandits et d’assassins qui ont introduit dans notre pays les passions criminelles et les pratiques crapuleuses […], sont pour nous un véritable fléau. Nos serpents à sonnette sont d’aussi bons citoyens qu’eux. Nos assassins sont des hommes sensibles et magnanimes en comparaison.”
L’article concluait qu’il serait difficile de trouver “une seule personne prête à avouer que, personnellement, elle déplorait ces lynchages”.