Après ces mariages, considérés comme une forme de traite d’enfants mineurs et d’esclavage moderne, ces jeunes mariées sont contraintes de travailler comme femmes de ménage et domestiques dans des conditions abusives moyennant une compensation mensuelle qui est reçue et gérée par des intermédiaires spéciaux. L’argent est envoyé au père et aux frères sans emploi de la jeune fille.
NB : Vous avez aidé à mettre en place l’initiative “J’ai vu le harcèlement” (“I Saw Harrassment”). Pouvez-vous, s’il vous plaît, nous en dire plus sur le harcèlement des femmes en Egypte ?