A cette occasion, le New-York Times se penche même sur la question, parlant alors de “kebabophobie” en France. Parallèlement, le néologisme de “kebabisation” est forgé par l’extrême-droite.
“Ni kebab, ni burger, vive le jambon-beurre”
Le sandwich “salade, tomate, oignons” est alors durablement dans le viseur du Front National. Lors d’un meeting de Marine Le Pen en 2013, Libération relève des pancartes proclamant : “Ni Kebab, ni burger, vive le jambon-beurre“.