La présence des enseignants reste donc indispensable pour éviter que le banc se transforme en un endroit où ceux qui sont seuls sont encore plus montrés du doigt. « Il faut être clair dès le début pour que ceux qui s’assoient sur le banc soient valorisés car ils proposent aux autres de devenir leur ami, » insiste Nicole Catheline.
Devant l’enthousiasme des enseignants pour le projet, Plaisir va continuer de transformer des bancs à destination cette fois des écoles maternelles. Intéressés, plusieurs enseignants aimeraient tester le concept dès le plus jeune âge.