Il souligne également «la grande enquête menée par l’INSEE et l’INED» sur le sujet «qui a nécessité des mois, voire des années pour élaborer un protocole». Ce sont «des thématiques extrêmement sensibles», rappelle le recteur, expliquant qu’aucun élément ne plaidait» pour la diffusion du questionnaire, encore moins en année électorale.
Par Alicia.Paulet, AFP agence, le 19/03/2017 sur Le Figaro.fr