Le sociologue expliquait cette tendance de prime abord peu logique par le fait que la cigarette reste un plaisir peu cher, même quand son prix augmente, et que c’est aussi un moyen abordable pour certains de gérer leur stress.
Quelles solutions ?
Alors si la solution n’est pas dans l’augmentation du prix du produit mortel, où se trouve-t-elle ? « Dans un ensemble de dispositions pertinentes et bien articulées entre elles », explique doctement Viêt Nguyen-Thanh.