Ces associations pallient-elles un certain désengagement de l’Etat ?
L’Etat finance par exemple l’hébergement des personnes sans domicile fixe, mais ce sont les associations qui mettent en œuvre concrètement ces actions sur le terrain. La politique sociale en France marche sur ces deux pieds : l’intervention publique d’un côté et la solidarité, la citoyenneté et l’engagement bénévole de l’autre. Nous avons besoin de consolider ce second pilier pour répondre à la demande sociale qui est très forte.