La journée de travail s’achève pour Coumba Dicko. Comme chaque soir, son téléphone sonnera tard. Quand les malades ne dorment pas, elle non plus. « C’est vrai que je gagnais plus quand j’étais esthéticienne, mais je ne fais pas ça pour l’argent, dit-elle. Quand on sauve des vies, c’est Dieu qui paie. »
Cet article fait partie d’une série réalisée dans le cadre d’un partenariat avec Cartier Philanthropy.