Pour ces associations d’aide aux réfugiés qui peinent à se faire connaître, AirBnB et son savoir-faire en communication «ne sont pas la solution miracle, mais un sacré plus», estime Antoine Paumard, directeur de JRS France.
La responsable d’ELAN ne pense pas non plus «que le nombre de logements disponibles (en France pour les réfugiés) va décoller» mais se satisfait «d’en avoir quelques-uns supplémentaires» qui remplissent les conditions de son association.
– Hébergement à la charge des hôtes –
Car il y a une exigence à laquelle AirBnB ne répond pas encore parfaitement : les hébergements sont souvent proposés pour de courtes durées, ce qui ne permet pas l’intégration des réfugiés, selon les associations qui préconisent trois mois minimum d’hébergement.