«Peu importe que ce soit une maison, une péniche ou quelque chose d’encore plus atypique, du moment que l’hôte est accueillant», estime M. Marill.
Les associations veulent toutefois visiter les logements avant de les sélectionner. «On considère une chambre à partir de 9 mètres carrés», précise Vincent Berne, responsable du pôle hébergement de Singa.
Ces visites leur permettent également de s’assurer des bonnes intentions des hébergeurs en refusant ceux qui chercheraient à faire travailler les réfugiés (baby-sitting, ménage…) en échange du logement.