Selon Sirine Rached Rached, d’Amnesty International, «l’acharnement contre les ahmadis en Algérie est une situation unique au Maghreb. Notre organisation n’a pas reçu de signalement de violations de liberté religieuse d’ahmadis au Maroc, en Tunisie ou ailleurs dans le Maghreb.»
Il y a quelques semaines, c’est une autre confrérie, venue du Maroc, El Karkariya, qui avait été prise pour cible par la presse conservatrice pour les mêmes motifs: mise en danger de l’unité nationale ou encore instrument de services de renseignements (étrangers).