
L’association 1 000 visages prodigue des cours à d’aspirants acteurs/réalisateurs… Crédits : 1 000 visages
Le jeune homme se souvient notamment d’une inscription à une agence de castings : « On a tout de suite commencé à me proposer des rôles de petit frère d’un dealer qui faisait sa loi dans le quartier, ça m’a très vite pris la tête ». Farès Ben Maouya a très vite délaissé le jeu pour la réalisation. « Dans le film que je prépare, j’imagine un acteur noir qui évoluerait dans un milieu social plutôt aisé », dit-il, plein d’un espoir réaliste.
Laurence Lascary : « Il y a des inégalités sociales qui sont réelles »
Laurence Lascary a fondé la société de production De l’autre côté du périph’ (DACP) en 2008, qui produit des courts et longs métrages. Le dernier film qu’elle a produit, L’Ascension, sorti en janvier 2017, raconte l’histoire vraie de Nadir Dendoune, un jeune d’une cité du 93, qui a grimpé l’Everest en 2008..