À ce jour, Issam Moussly n’a pas encore déterminé la voie d’acheminement que prendra son prochain convoi. Le dernier, en janvier 2019, s’est heurté à de nombreux barrages administratifs. Mais une chose est sûre, le pharmacien ne renoncera pas.
Tant que des civils souffriront sur le sol syrien, tant que des enfants verront leur avenir compromis, il collectera inlassablement pour contribuer à leur survie. « J’ai du mal à rester inactif quand je vois tant de souffrance », résume-t-il tout simplement.