Le chemin est encore long
Il faudra donc une révolution culturelle pour mettre réellement un terme à ces mutilations génitales. L’exemple de l’Egypte est une vaie mise en garde. Ce pays a interdit la pratique de l’excision en 2008 assortie de peines allant jusqu’à sept ans de prison. Mais, selon une étude de l’Unicef de 2016, cela n’a pas pas changé fondamentalement les pratiques, aujourd’hui encore, 70% des Egyptiennes subiraient une mutilation génitale avant leurs 12 ans.
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