Pour les transsexuels, le “rêve américain” se résume à trouver où vivre en paix

Le Centre du front d’action pour les Américains (CAP) a essayé de combler ce manque de statistiques en la matière en se servant des cas traités par l’organisation Immigration Equality (IE) et de Human Rights First.

Les acceptations des demandes d’asiles des transsexuels du Mexique et des autres pays de l’Amérique centrale sont passées de deux en 2010 à vingt-trois en 2016. Trois transsexuels sur dix proviennent de ces pays, mais ils ne représentent qu’une infime partie de la population qui a besoin de cette protection ou qui peut en faire la demande. Nombreux sont ceux qui restent en situation irrégulière avec la peur de l’expulsion.