Et de poursuivre dans sa lettre: «dans la peinture, j’essaie l’optimisme, la joie et la danse. J’essaie la lumière qui donne espoir, qui rassure et apaise. C’est dans ce sens que j’ai travaillé les toiles servant de maquettes pour faire les vitraux de cette église.»
Les couleurs de ces vitraux rappelleront donc la Loire, «ce grand fleuve apparemment tranquille mais qui a une personnalité étonnante, originale, spirituelle» que Tahar Ben Jelloun dit avoir passé des moments intenses à observer pour mieux en retranscrire «la diversité de ses lueurs, de ses teintes, de ses reflets» passant «d’un bleu étrange à un vert franc» pour «ensuite prendre une teinte sombre.»
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