Le 16 juin, nous avons célébré la Journée de l’enfant africain. C’était l’occasion de se pencher sur cette loi sur les daaras. On a constaté des progrès, même si ceux-ci sont très longs à apparaître. Néanmoins, il faut persister dans cette direction qui est la bonne. Même si, dans l’état de pauvreté dans lequel se trouvent de nombreuses familles aujourd’hui en Afrique, il va être très difficile de voir cette loi produire dans le court terme tous ses effets. Il faut compter avec le temps.
0