Aux côtés de son partenaire Nômade, avec le projet Grafitti Griot (“Griot” signifie conteur d’histoires en yoruba, une langue nigéro-congolaise), il parvient à faire revivre, grâce à la peinture, le concept d’éducation africaine et à le concilier avec la réalité urbaine.
“Je n’arrive pas à me donner ce nom [de défenseur des droits de l’homme]. C’est surréaliste. Peut-être que pour un play-boy qui n’a jamais vu un enfant obligé de vendre le lait qu’on lui donne à l’école pour faire des courses pour la maison, c’est plus facile de se considérer comme ça, mais pour moi, c’est un nom lourd à porter”, explique-t-il. Il confesse toutefois avoir déjà été menacé à cause de son travail.