“On les stigmatise aussi en prétendant que ceux qui défendent les droits de l’homme sont des défenseurs de bandits ou qu’ils sont eux-mêmes liés au crime. Mais ce que les gens ne comprennent pas, c’est que la garantie des droits d’une personne dépend de la garantie des droits de tous”, conclut-elle.
Originaire du Pernambouc, Todyone se considère comme un militant mais pas comme un défenseur des droits de l’homme . L’artiste a développé le concept de “graffiti communautaire” et, depuis 2009, il organise des “mutirões” qui attirent chaque année des dizaines de grapheurs pour peindre les murs de son quartier.