Elle insiste sur « l’importance de revenir sans cesse au socle juridique » car, souligne-t-elle, « la laïcité est basée sur les principes d’égalité et de liberté et c’est un pilier de la cohésion sociale ».
S’agissant des « cas pratiques » rencontrés dans son parcours, M. Rochet évoque ceux d’un patient musulman « s’étant servi de son drap d’hôpital comme tapis de prière » et d’un patient juif, « qui, hospitalisé mais ne pouvant actionner de boîtier électrique pendant shabbat, hurlait pour appeler les infirmières ».