Surtout, à la demande expresse des pays du G7, les géants d’Internet ont pris l’engagement, en octobre 2017, de supprimer les contenus en ligne faisant l’apologie du terrorisme. Facebook affirme supprimer 99,5 % de ces messages avant même qu’ils s’affichent, grâce à un algorithme de détection. Twitter revendique un taux de succès de 93 %, Google, de 81 %.
L’étau numérique se resserre donc, mais les djihadistes adaptent leurs usages et leurs messages. Les réseaux sociaux bloquent à tout-va ? La propagande réapparaît sur des forums Internet « à l’ancienne ». La confidentialité est nulle, mais le public potentiel est décuplé…