Près d’un étudiant sur quatre travaille pour financer ses études

Parmi eux, un peu plus de la moitié se consacre à une activité en lien avec ses études, notamment ceux en apprentissage ou en stage. L’autre moitié, qui travaille le plus souvent comme caissiers, vendeurs, serveurs, surveillants ou professeurs de cours particuliers, occupe pour la majorité une activité à temps partielle. Ils sont ainsi 73 % à avoir un travail qui les occupe en moyenne 23 heures par semaine. Une charge lourde qui peut avoir des répercussions sur l’avenir. Selon cet étude, les activités « les plus déconnectées des études, exercées de façon régulière ou intense, peuvent avoir des répercussions non négligeables sur les conditions d’études et sur leur réussite ».