Tous les migrants rencontrés ce jour-là se plaindront des « montagnes d’ordures » qui se forment le long du périphérique. « La situation est devenue totalement dramatique », s’indigne Pierre Henry de FTDA. « Comment voulez-vous qu’on n’aille pas vers une catastrophe quand les gens vivent dans la fange, dans les excréments et dans l’urine ! »