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Toutefois, la requête des exilé-e-s d’ouvrir un dialogue avec la Mairie et la Préfecture avant l’évacuation n’a pas été honorée…
Pour Corinne Torre, chef de mission pour Médecins sans frontière (MSF), la crainte des autorités pousse aussi les migrants à rester dans les campements. « Les structures d’hébergement d’urgence du 115 sont obligées, via une circulaire du gouvernement, de donner aux autorités les noms des personnes hébergées. Comment voulez-vous que les migrants y aillent dans ces conditions ? », s’offusque-t-elle.