Le matin de sa mort, Mickaël Lavocat aurait reçu des appels manqués de deux de ses collègues. Jamais dans les quatre mois qui ont précédé le drame, ces militaires n’avaient pourtant tenté de le joindre. L’un a été entendu. Une fois seulement. L’autre, jamais. La plainte, rédigée par Me Yassine Bouzrou, dresse ainsi la liste des manquements et erreurs empêchant selon lui la manifestation de la vérité dans ce dossier.
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