« Tant que je n’ai pas de papiers, je ne peux rien faire, même pas passer le permis de conduire (…) Dans ma tête, je suis toujours un peu prisonnier, je ne suis pas libre« , ajoute-t-il.
Depuis son arrivée, l’ancien pirate a rencontré sur sa route plusieurs anges gardiens. Avant même son procès, il a été accueilli par les « Compagnons d’Emmaüs« , une organisation humanitaire, dans une communauté où il travaille toujours. Certains ont d’ailleurs témoigné en sa faveur aux assises.