Il faut des solutions plus adaptées, pas forcément des logements mais dans les lycées et les internats, comme le suggère Valérie Pécresse, la présidente de la région Ile-de-France, et aussi dans les résidences pour étudiants ou auberges de jeunesse. Il faut, bien sûr, avoir les effectifs nécessaires.
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Il y a encore des personnes qui vivent dans des campements, comme à Calais (Pas-de-Calais) et Grande-Synthe (Nord), mais aussi dans des grandes villes comme Toulouse, Lyon, Marseille… Or, l’hygiène y est catastrophique et les mesures barrières ne peuvent pas y être respectées. Dans les bidonvilles roms, les gens manquent d’eau.