L’Etat dépense aujourd’hui largement pour éviter les faillites et les licenciements, mais ses moyens ne sont pas sans limite alors que la phase la plus critique sera la sortie de crise. Il faudra en même temps soutenir les entreprises et accélérer la reprise de la consommation.
Je ne voudrais pas que les plus démunis soient les oubliés dans cette affaire. Or, c’est la seule catégorie dont le pouvoir d’achat n’a pas crû en 2019. Il est essentiel qu’à la sortie de la crise sanitaire, ils puissent bénéficier de ce qui pourra être fait pour relancer la consommation.