L’unité de lutte antiterroriste britannique a également été impliquée et a identifié « de grands bureaux d’enregistrement de noms de domaine usurpés par l’EI ». Les services de renseignements électroniques britanniques (GCHQ) avaient déjà annoncé début avril avoir fortement dégradé les capacités de mise en ligne des médias de l’EI.
Le ministère bulgare de l’Intérieur a de son côté affirmé que « l’accès à quatre serveurs utilisés pour diffuser l’information, a été bloqué ». « C’était très difficile d’un point de vue technique. Nous n’avons été capable de le faire qu’en raison de l’expérience acquise lors d’opérations majeures contre la cybercriminalité », a estimé Rob Wainwright. Les investigations se poursuivent et des arrestations pourraient suivra, selon lui.