Le problème n’est pas un déficit de culture scientifique ou de rapport à la science. C’est un problème de proximité : la défiance vient du fait que les citoyens n’ont pas le sentiment d’être proches des institutions qui produisent de la science, mais se sentent plus proches d’associations environnementales comme Greenpeace, d’élus locaux…
La critique de la raison est très touffue : entre les complotistes, les religieux, une frange radicale de l’écologie, il n’y a pas forcément de liens…