« Nous avons vu ce même peuple pénétré d’un sentiment profond, attendri jusqu’aux larmes, à l’aspect du malheur et de la vieillesse élevés dans un char, escortés honorés par la représentation nationale.
« Ce n’est donc pas sans fondement que nous osons vous annoncer que le peuple de la Commune Affranchie, méritera bientôt d’être compté au nombre des enfants de la République et de rentrer dans ses lois » (9).