« Il faut mettre fin au “dublinage” [application du règlement Dublin qui délègue la responsabilité de l’examen de la demande d’asile d’un réfugié au premier pays qui l’a accueilli]. On oblige des gens à revenir dans leur pays d’arrivée. On sait sur le terrain que ce n’est pas possible », a fait valoir Marie-Aimée Peyron, bâtonnier de Paris, qui soutient l’initiative.
Près de 700 tentes occupées par des migrants sont installées à Paris, soit entre 800 et 1 475 personnes, selon un comptage réalisé par l’association France terre d’asile le 19 avril.