Plusieurs arrestations, voire des démantèlements de réseaux, sont à mettre à l’actif de la Katiba. Comme en 2017, quand elle repère un Réunionnais menaçant sur Telegram. « On l’a identifié et géolocalisé. Il est devenu très virulent sur les réseaux sociaux. On a vite fait remonter l’information. » Pendant plusieurs mois, aucune nouvelle. « Puis on a appris dans la presse qu’il venait d’être arrêté, juste avant de voyager en métropole où il planifiait une action terroriste. »
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