Pour éviter toute méprise, les comptes sensibles de la Katiba sont déclarés auprès de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). « Il arrive que les services nous disent : N’allez pas plus loin ! On imagine alors que le profil qu’on étudie est déjà surveillé, ou que c’est celui d’un agent infiltré. Alors, on arrête tout. Ce sont eux, les professionnels. » Autre principe : ne jamais dévoiler publiquement de nom. « On gagnerait beaucoup de likes. Mais ça tournerait vite mal. »
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