Pour les élèves, pas de doute, les mains levées font consensus : ce sont les musulmans qui, par les temps qui courent, remportent la palme. Nulle idée d’engager une quelconque compétition victimaire. L’atelier veut simplement faire réfléchir.
« L’idée du projet Escales est née en septembre dernier, dans le cadre du plan de lutte contre la radicalisation. Il s’agit de sensibiliser à la question de la diversité culturelle et religieuse, tout en aidant à déconstruire ce qui nourrit les manifestations du racisme, notamment l’islamophobie », explique Audrey Hachey.