Ce qui fut fait, en redoublant de prudence et en restant anonyme, car le protecteur musulman de deux textes sacrés chrétiens redoutait l’extraordinaire capacité de nuisance des « cellules dormantes d’Isis », qui sommeillaient encore dangereusement à Mossoul.
Prévenu de l’existence de ces deux textes, le prêtre et érudit Paul Thabit Mekko, qui a immédiatement deviné leur provenance « l’église syriaque orthodoxe de l’Immaculée » – démolie par Daesh – veille aujourd’hui sur eux avec une attention particulière, jusqu’à ce que les propriétaires légitimes soient retrouvés.