S’il n’y a pas de lien direct de causalité établi entre internet et la radicalisation, le cyberespace est propice à la diffusion de discours de haine et d’appels à la violence, explique Séraphin Alava dans un article paru dans The Conversation.
Ainsi, précise-t-il, « d’après les sources de Google, plus 720 000 pages sont générées par des groupes radicaux ou terroristes entre janvier 2011 et décembre 2016. Le travail est donc immense pour les États, les entreprises du Net et les fournisseurs d’accès pour identifier, caractériser et identifier ces sites en vue de les supprimer ».