« S’il est raisonnable, il sera là dans une heure ! » Cette phrase, Josette Audin, la veuve du miltant communiste, l’a entendue à Alger, le 11 juin 1957 de la bouche de l’officier parachutiste venu chercher son mari après une dénonciation. Il lui aura fallu attendre 61 ans pour entendre de la bouche même du président de la République la reconnaissance de la responsabilité de l’état pour avoir laisser les mains libres aux militaires. Mathématicien, le jeune Maurice Audin avait choisi par idéal anti colonial de mettre sa plume au service de la guerre de libération. Cette interview de Josette Audin a été enregistrée par la télé Libre date de juin 2007… L’ entretien est signé Jean-Sébastien Desbordes et Henry Marquis
0