On connaît tous cette statistique: une femme meurt tous les trois jours sous les coups de son conjoint. Mais sa réalité est bien différente de ce que j’imaginais.
Parfois, germent des idées dérangées et/ou dérangeantes dans les esprits des journalistes. C’est ce qui a dû m’arriver l’an dernier, le soir où j’ai mis en place sur mon adresse mail une alerte Google sur les termes «femme + mort» et «femme + homicide» avec une récurrence quotidienne.