Cette candidature historique est portée par le Congrès national des indigènes et les zapatistes.
Au Mexique, comme dans beaucoup de pays, être une femme, indigène et pauvre, est une triple discrimination, même au sein de sa propre communauté.
Cela n’a pas empêché le groupe révolutionnaire de gauche de l’Armée zapatiste de libération nationale (EZLN) d’élire une femme du groupe des Nahuas pour le représenter à l’élection présidentielle de 2018.