Ce n’est pas pour mettre au point une « drogue » qu’on a donné des doses artificielles d’ocytocine, mais plutôt pour bien appliquer la démarche scientifique. Il n’y a rien de très controversé là-dedans.
« Nous ne voulons absolument pas « droguer » des gens pour modifier leur attitude envers les réfugiés, a répondu par courriel le Dr Dirk Scheele, un des chercheurs. D’un point de vue scientifique, nous nous intéressons simplement aux processus neurobiologiques qui affectent les décisions altruistes et égoïstes. »