En gros, ils suggèrent d’enrayer la xénophobie non pas en administrant des doses d’hormone, mais en encourageant les gens à faire la fête ensemble, ce qui relâche naturellement de l’ocytocine dans le corps.
J’ajouterais qu’il n’est pas « honteux » de la part du Devoir d’avoir publié un article à propos de cette étude scientifique, comme l’affirme le chroniqueur du Journal de Montréal. J’appréhende le jour où il deviendra honteux de relayer des résultats d’études scientifiques qui ne font pas notre affaire.