CHRONIQUE – Une nouvelle étude examinant l’effet d’une hormone – l’ocytocine – sur l’empathie envers les réfugiés a fait bondir certains commentateurs sur le web. Contrairement à ce qu’ils affirment, la recherche ne vise pas à mettre au point une drogue qui pourrait être administrée aux gens pour qu’ils acceptent les réfugiés. C’est une interprétation que les chercheurs accueillent d’ailleurs avec « consternation ».
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