Un «coup de foudre»
Béatrice Huret décide de devenir bénévole. Un an plus tard, elle croise le regard de Mokhtar pour la première fois. Il fait partie des migrants iraniens qui se sont cousu la bouche pour protester contre le démantèlement d’une partie du bidonville. C’est «un coup de foudre», confie-t-elle.
Après avoir perdu sa trace, elle accepte des mois plus tard via une connaissance de la «Jungle» d’accueillir Mokhtar et un autre Iranien à son domicile, où elle vit avec sa mère, 76 ans, et son fils Florian, 19 ans.