En Syrie, « réparer les lionceaux du califat » par l’écoute et la « morale »

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A son arrivée, comme beaucoup de « lionceaux », « il ne nous a pas dit bonjour, pas serré la main, il ne nous regardait pas dans les yeux », raconte une des deux directrices du centre, Roken Khalil.

Un établissement géré par des femmes, où on ne parle guère de religion et où tous les pensionnaires doivent se raser, avoir les cheveux courts et s’habiller à l’occidentale : l’arrivée est un choc culturel pour ces adolescents ayant baigné dans le fondamentalisme.