Le Lobby des femmes figure aussi sur la liste noire et a également été la cible d’enquêtes. « Par les médias, on a appris que nous étions soupçonnés de financer des partis d’opposition, ou au moins de les aider, ou d’être des agences étrangères servant les intérêts d’autres pays », raconte la militante Reka Safrany. Depuis l’année dernière, les ONG financées par des fonds étrangers à partir d’un certain seuil sont obligées de s’enregistrer. Gyorgyi Toth, qui a vu l’association Nane, où elle est volontaire, également visée, s’inquiète de l’avenir qui leur est réservé :
0