article par Matteo Maillard publié sur e site lemonde.fr/afrique , le 09 02 2020
« La dernière fois que je suis sorti, les étalages étaient presque vides, tout le monde faisait la queue. Quand une femme sans masque a pénétré dans le supermarché, c’était la panique ! », se souvient-il, redoutant le jour où il devra remettre un pied dehors. Il faudra alors marcher trente minutes au moins jusqu’au seul magasin ouvert du quartier. Ni les métros, ni les bus, ni les taxis ne sont autorisés à circuler dans la ville mise en quarantaine le 23 janvier par le gouvernement chinois afin de freiner l’épidémie.