Il ne faut pas se laisser déposséder de l’éducation de nos enfants, il faut s’organiser politiquement pour réfléchir aux meilleurs moyens de leur transmettre nos langues, y compris quand nous ne les parlons pas ou plus nous-mêmes.
C’est l’une des questions qui seront travaillées en atelier lors des « États Généraux des Familles, contre les discriminations à l’école » (link is external) qui auront lieu à Montreuil le 24 mai.