Dire comment mais pas pourquoi
Les biais cognitifs s’enchaînent au fil des pages : biais de confirmation (le fait d’aller chercher des informations qui vont dans le sens de ce que l’on croit déjà), le biais de négligence de régression vers la moyenne (la faible probabilité qu’une performance exceptionnelle se reproduise une seconde fois) ou encore la négligence de la taille de l’échantillon (refuser que des faits isolées peuvent relever du hasard). Des explications cognitives qui aident à comprendre la viralité dé certaines thèses complotistes.